40. Visite à la CPAM : je suis guérie ou presque!
18 Juin 2014 : Grâce à un médecin de lacpam, j'apprends queje vais mieux
Pour un nouvelle, c'en est une ! Hier, j'ai reçu une convocation pour un visite par un médecin-conseil de la MDPH qui voulait me rencontrer car j'avais demandé à avancer de 2 ans ma retraite pour inaptitude au travail. J'y suis donc allée le coeur léger d'autant qu'hier matin, j'avais une lombalgie et une grosse douleur dan le talon droit qui m'empêchait de poser le pied par terre. Le médecin était une femme, froide, sèche. Elle a refusé que mon mari entre dan le bureau : pourquoi ? Ensuite, elle a attendu un moment avant de me demander pourquoi j'étais là : bon, à part répondre à sa convocation, oui mai qu'avez-vous comme problème ? J'ai commencé à expliquer : on ne pouvait rien lire sur son visage. Elle n'a pa regardé les documents qu'elle m'avait demandé d'apporter.. Après un bref examen (poids = conclusion : surpoids, probablement la cause des douleurs, non madame, à cause de médocs de merde prescrits par vos confrères), un coup de marteau sur le genoux, un autre ur le chevilles..Ensuite, elle o me regarder et me dire :je vai onner une conclusion négative. Pour moi, votre handicap atteint à peine 50 % !!!J'ai essayé de lui expliquer que je ne peux pa tenir une assiette dan me mains, que j'utilise ouvent un fauteuil roulant, que je porte de attelles, que je ne conduis plus (la faute aux malaise que je fais et pour lesquels je prends des anti-épileptiques.. Rien n'y a fait. J'en ui sortie dégoûtée et j'ai mieux compris le sentiment que bcp defibros ressentent aussi dans ces moments-là. Bien sûr, je vai faire appel.. et lui faire envoyer un livret sur la fibromyalgie. Tout la journée, j'ai ruminé : Ainsi donc, j'aurai pu travailler pendant toutes ces années ??? Quelle connerie ! Si j'avais eu le choix, bien sûr que j'aurai bossé ! Et quid de soins que je fais pratiquement chaque jour, où je me déplace en VSL ? (avec l'accord de la cpam) ???
Je suis bien énervée. Ce médecin a réussi à me faire douter de tout et surtout de moi : Je comprends les effets dévastateurs de ce genre de visite sur les malades auf que ces rendez-vous ont aussi des conséquences sur la vie quotidienne de ces malades.
